Ce chant est une autre paraphrase du psaume De profundis, faite par M. Serville (la précédente était de l'abbé Lefort). On y décrit les plaintes du pécheur qui, gémissant du fond de l'abîme où ses péchés l'ont plongé, lance un cri déchirant à son Seigneur, le priant de ne point lui tenir un compte rigoureux de ses fautes, nul ne pouvant être trouvé sans reproches à ses yeux si purs; mais lui rappelant qu'il a bien voulu, en considération de notre faiblesse, promettre son pardon à tout pécheur qui reviendrait vers lui d'un cœur contrit, il espère ainsi avec assurance en sa clémence et en sa miséricorde. Se confiant donc toujours en lui à toute heure du jour comme de la nuit, il attend l'heureux moment où, espère-t-il, son âme ira rejoindre son Sauveur dans la patrie céleste.
Cantique chanté intégralement avec partition vocale affichée :
Couplet musical en boucle pour accompagner les chanteurs :
- Version 1 (orgue seul)
- Version 2 (orgue + mélodie à l'orgue électrique rock)
Paroles du cantique :
REFRAIN :
Du fond de l'abîme, Seigneur,
Vers vous je crie !
Ne rejetez pas le pécheur
Qui vous supplie.
1
Ecoutez ma voix, ô mon Dieu,
Prêtez l'oreille à ma prière.
Si de nos péchés trop nombreux
Vous tenez un compte sévère,
Qui pourra soutenir les feux
De votre divine colère ?
2
Et pourtant je crois au pardon
De votre cœur plein de tendresse.
Vous êtes, Seigneur, juste et bon,
Vous savez quelle est ma faiblesse !
Mon âme invoque votre nom,
Votre secours, votre promesse.
3
Que de l'aube jusqu'à la nuit,
En vous, Seigneur, je me confie :
Car si votre main me conduit,
Je verrai la sainte Patrie
Quand vers vous mon âme aura fui,
O miséricorde infinie !
Du fond de l'abîme, Seigneur,
Vers vous je crie !
Ne rejetez pas le pécheur
Qui vous supplie.
1
Ecoutez ma voix, ô mon Dieu,
Prêtez l'oreille à ma prière.
Si de nos péchés trop nombreux
Vous tenez un compte sévère,
Qui pourra soutenir les feux
De votre divine colère ?
2
Et pourtant je crois au pardon
De votre cœur plein de tendresse.
Vous êtes, Seigneur, juste et bon,
Vous savez quelle est ma faiblesse !
Mon âme invoque votre nom,
Votre secours, votre promesse.
3
Que de l'aube jusqu'à la nuit,
En vous, Seigneur, je me confie :
Car si votre main me conduit,
Je verrai la sainte Patrie
Quand vers vous mon âme aura fui,
O miséricorde infinie !
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